9 janvier 2018
Les chiens de Detroit
Et dire que c'est un premier roman... J'ai adoré ce premier thriller, le rythme est élevé, on tourne les pages sans pouvoir s'arrêter.
Ce qui fait la force de ce petit bijou inattendu, outre l'association opportune de deux flics amochés mais à la personnalité suffisamment originale pour ne pas tomber dans la caricature, c'est bel et bien son délicieux bad guy, le Géant des brumes.
A force de courts chapitres tendus à l'extrême et de twists mesurés mais opportuns, l'auteur abolit le temps, offrant ainsi au lecteur comblé une parenthèse coupable qu'il lui tarde déjà de retrouver.
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